Le funeste destin du père aurait pu incliner le fils au dégoût du football. Mais du cours de la vie, le fils a pris la passion du jeu, pour dépasser son drame et honorer son nom. Alessandro Mazzola n'a que sept ans lorsque Valentino, jeune trentenaire et vedette du Torino, trouve la mort dans la catastrophe aérienne de Superga le 4 mai 1949. Adolescent, Sandro quitte le Piémont pour la Lombardie avec son frère cadet, Feruccio. Direction l'Inter de Milan où Helenio Herrera inculque avec succès les règles du Catenaccio. Au cœur d'une organisation où rigueur et discipline sont considérées comme vertus cardinales, Mazzola apporte une indéniable note de fraîcheur. Sa technique est appréciée et démontre que la beauté du geste n'est pas l'ennemi de l'efficacité. Pro à vingt ans, Mazzola se distingue grâce à sa puissante frappe de balle, sa maîtrise technique et sa clairvoyance. Très vite, il se forge un palmarès. Champion d'Italie en 1963, 1965 et 1966, vainqueur de la Coupe d'Europe des clubs champions en 1964 et 1965, le Moustachu dispute la Coupe du monde 1966. Les Italiens sont éliminés sans gloire dès le premier tour mais Mazzola, buteur face au Chili, est l'un des rares à échapper aux critiques.
Deux ans plus tard, il remporte le championnat d'Europe des Nations à Rome face à la Yougoslavie. Au Mondial mexicain, les Italiens poursuivent sur leur lancée. Mais celle-ci a ses limites. Valcareggi, le sélectionneur national, s'obstine à opposer l'Interiste à Rivera, le meneur de jeu du Milan AC. En final, la Squadra Azzurra encaisse une très lourde défaite face au Brésil de Pelé (4-1 ). Elle aura un mal de chien à s'en relever. En Allemagne, quaff% ans plus tard, l'Italie n'est que l'ombre du valeureux finaliste de 1970. Tous les spécialistes s'accordent à penser que cette formation est au bout du rouleau, hormis Mazzola. À trente-six ans, Sandro estimera que l'heure de tirer sa révérence a sonné. M devient alors directeur sportif de l'Inter Milan et commente, en parallèle, les matches de l'équipe d'Italie pour la Rai en duo avec un certain Gianni Rivera. Mieux vaut tard que jamais...
Deux ans plus tard, il remporte le championnat d'Europe des Nations à Rome face à la Yougoslavie. Au Mondial mexicain, les Italiens poursuivent sur leur lancée. Mais celle-ci a ses limites. Valcareggi, le sélectionneur national, s'obstine à opposer l'Interiste à Rivera, le meneur de jeu du Milan AC. En final, la Squadra Azzurra encaisse une très lourde défaite face au Brésil de Pelé (4-1 ). Elle aura un mal de chien à s'en relever. En Allemagne, quaff% ans plus tard, l'Italie n'est que l'ombre du valeureux finaliste de 1970. Tous les spécialistes s'accordent à penser que cette formation est au bout du rouleau, hormis Mazzola. À trente-six ans, Sandro estimera que l'heure de tirer sa révérence a sonné. M devient alors directeur sportif de l'Inter Milan et commente, en parallèle, les matches de l'équipe d'Italie pour la Rai en duo avec un certain Gianni Rivera. Mieux vaut tard que jamais...
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