Miracle  à l'italienne, celui qui fait du Calcio le football le plus glorieux  d'un sport imaginé par des Anglais chassés ces derniers temps de la  scène européenne. Le foot fait ainsi des pieds de nez à l'histoire. Et  l'histoire rapporte aujourd'hui les échos d'une saison fabuleuse où  l'Italie a raflé les trois coupes européennes. Exploit historique qui  entre tout droit dans la légende. Même l'Espagne de 1962, qui avait  placé ses clubs en finale de toutes les Coupes d'Europe, n'avait pu  enlever que deux finales avec le Barça en Coupe des Coupes et Saragosse  dans la Coupe des Villes de Foire. A l'heure de la distribution des prix  manquait à l'appel le Real Madrid battu par Benfica pour la Coupe des  Champions. L'Italie triomphe donc à tous les niveaux, sur tous les  plans, dans tous les stades. 
Cette marche triomphale qui a commencé le 9 mai à Goeteborg par le succès de la Sampdoria de Gênes face à Anderlecht (2 buts de Gianluca Vialli), s'est poursuivie par un règlement de comptes à l'italienne avec la Juve exécutant la Fiorentina (3-1 à l'aller à Turin et 0-0 à Avellino au retour), pour connaître son apothéose le 23 mai à Vienne avec la victoire du Milan AC sur Benfica (1-0). Ah, quel joli mois de mai ! Les esthètes pourront toujours pincer des bouches venimeuses en disant qu'aucune de ces finales n'atteignit le niveau escompté. Il n'en reste pas moins que seuls les faits (plus têtus encore que les censeurs) marqueront l'histoire. Et qui se souviendra demain que ces finales furent le refuge de la médiocrité ? On aura oublié les passes approximatives, la rudesse de certaines interventions, les scores étriqués pour ne retenir que ce qui a de la valeur : La Victoire !
Celle du Milan AC chez les Champions, celle de Gênes en Coupe des Coupes et celle de la Juventus de Turin pour l'U.E.F.A. En un mot, celle du Calcio... Car, au-delà même de ces résultats ponctuels, le football italien pose les jalons d'une prochaine saison exceptionnelle avec huit représentants sur la ligne de départ des compétitions européennes. Deux en Coupe des Champions : Milan AC, le tenant, et Naples, le champion d'Italie en titre ; deux autres en Coupe des Coupes : avec la Sampdoria détentrice du trophée et la Juventus qui a gagné la Coupe d'Italie ; et enfin Tinter de Milan, l'AS Roma, l'Atalanta de Bergame et Bologne en Coupe de l'U.E.F.A. Soit les huit premiers du championnat italien. Qui dit mieux ! Avec en filigrane une représentation géographique qui, du nord de la péninsule avec Milan et Turin jusqu'au sud avec Naples, jette suffisamment d'huile sur le feu pour des passions dans un pays où le fossé économique, le passé culturel et même les différences ethniques accentuent les fractures entre un nord riche et prospère et un sud nonchalant...
Ce n'est pas, d'ailleurs, le moindre des paradoxes de ce pays où le football a ses chantres, ses poètes, ses rites, son passé, au point que l'on peut parler à son propos de véritable religion. Une religion qui compte des millions d'adeptes animés par la même passion quand bien même idolâtrent-ils une foultitude de dieux. Ce peuple des tifosi réussit à puiser dans sa ferveur pour le mode de vie, une façon d'être et d'exister, qui gomme toutes les différences, abolit toutes les inégalités. Avec un credo unique : respect. Ainsi que l'a écrit le journaliste P.-M. Descamps : « Respect des institutions, de la tradition, du jeu, des adversaires et tout simplement de leurs propres joueurs... » Et ça, c'est aussi la marque de fabrique d'un football italien qui rafle tous les titres, tous les honneurs et se paye le luxe d'acheter les meilleurs footballeurs de la planète. R ce titre, la réflexion de Luis Suarez, le sélectionneur espagnol, en dit long sur le formidable état de santé de ce Calcio. « Je suis suffoqué de voir Martin Vasquez quitter le Real Madrid pour le Torino ! Avant, quand un joueur partait du Real, c'était uniquement pour aller à Barcelone... » Mais aujourd'hui, c'est l'Italie qui fait la loi en Europe et ce sont ses clubs qui tiennent les cordons de la bourse. L'histoire est en marche et n'ayons pas de honte à crier : « Viva Italia ! » En d'autres temps, d'autres tifosi, dans le sillage de Cavour et de Garibaldi avaient lancé le fameux : « Italia tara da se ! » Et l'unité de l'Italie s'est ainsi faite. Désormais, cette unité passe sûrement par le Calcio !
Cette marche triomphale qui a commencé le 9 mai à Goeteborg par le succès de la Sampdoria de Gênes face à Anderlecht (2 buts de Gianluca Vialli), s'est poursuivie par un règlement de comptes à l'italienne avec la Juve exécutant la Fiorentina (3-1 à l'aller à Turin et 0-0 à Avellino au retour), pour connaître son apothéose le 23 mai à Vienne avec la victoire du Milan AC sur Benfica (1-0). Ah, quel joli mois de mai ! Les esthètes pourront toujours pincer des bouches venimeuses en disant qu'aucune de ces finales n'atteignit le niveau escompté. Il n'en reste pas moins que seuls les faits (plus têtus encore que les censeurs) marqueront l'histoire. Et qui se souviendra demain que ces finales furent le refuge de la médiocrité ? On aura oublié les passes approximatives, la rudesse de certaines interventions, les scores étriqués pour ne retenir que ce qui a de la valeur : La Victoire !
Celle du Milan AC chez les Champions, celle de Gênes en Coupe des Coupes et celle de la Juventus de Turin pour l'U.E.F.A. En un mot, celle du Calcio... Car, au-delà même de ces résultats ponctuels, le football italien pose les jalons d'une prochaine saison exceptionnelle avec huit représentants sur la ligne de départ des compétitions européennes. Deux en Coupe des Champions : Milan AC, le tenant, et Naples, le champion d'Italie en titre ; deux autres en Coupe des Coupes : avec la Sampdoria détentrice du trophée et la Juventus qui a gagné la Coupe d'Italie ; et enfin Tinter de Milan, l'AS Roma, l'Atalanta de Bergame et Bologne en Coupe de l'U.E.F.A. Soit les huit premiers du championnat italien. Qui dit mieux ! Avec en filigrane une représentation géographique qui, du nord de la péninsule avec Milan et Turin jusqu'au sud avec Naples, jette suffisamment d'huile sur le feu pour des passions dans un pays où le fossé économique, le passé culturel et même les différences ethniques accentuent les fractures entre un nord riche et prospère et un sud nonchalant...
Ce n'est pas, d'ailleurs, le moindre des paradoxes de ce pays où le football a ses chantres, ses poètes, ses rites, son passé, au point que l'on peut parler à son propos de véritable religion. Une religion qui compte des millions d'adeptes animés par la même passion quand bien même idolâtrent-ils une foultitude de dieux. Ce peuple des tifosi réussit à puiser dans sa ferveur pour le mode de vie, une façon d'être et d'exister, qui gomme toutes les différences, abolit toutes les inégalités. Avec un credo unique : respect. Ainsi que l'a écrit le journaliste P.-M. Descamps : « Respect des institutions, de la tradition, du jeu, des adversaires et tout simplement de leurs propres joueurs... » Et ça, c'est aussi la marque de fabrique d'un football italien qui rafle tous les titres, tous les honneurs et se paye le luxe d'acheter les meilleurs footballeurs de la planète. R ce titre, la réflexion de Luis Suarez, le sélectionneur espagnol, en dit long sur le formidable état de santé de ce Calcio. « Je suis suffoqué de voir Martin Vasquez quitter le Real Madrid pour le Torino ! Avant, quand un joueur partait du Real, c'était uniquement pour aller à Barcelone... » Mais aujourd'hui, c'est l'Italie qui fait la loi en Europe et ce sont ses clubs qui tiennent les cordons de la bourse. L'histoire est en marche et n'ayons pas de honte à crier : « Viva Italia ! » En d'autres temps, d'autres tifosi, dans le sillage de Cavour et de Garibaldi avaient lancé le fameux : « Italia tara da se ! » Et l'unité de l'Italie s'est ainsi faite. Désormais, cette unité passe sûrement par le Calcio !
AC  Milan: G. Galli, Tassotti, Costacurta, Baresi, Maldini, Colombo (F.  Galli), Rijkaard, Ancelotti (Massaro), Evani, Gullit, Van Basten  (manager: Sacchi) (Rijkaard 62) 
Benfica:  Silvino, Jose Carlos, Aldair, Ricardo, Samuel, Vitor Paneira (Vata  Garcia), Valdo, Them, Hernani, Magnusson, Pachedo (Cesar Brito)  (manager: Eriksson)
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 Ruud  Gullit had played his first game of the season the previous week and,  although he had confessed to being 'only 70 per cent fit', the Dutchman  played in attack alongside Marco Van Basten against the strong Benfica  side. Magnusson, scorer of 33 goals in the Portugese league, and Valdo  were their counterparts for Benfica. The newly-refurbished Prater  Stadium was the venue for the much anticipated clash. The game was a  tactical battle, with Milan making futf use of their expertise in the  offside trap and the long pass-back to keeper Galli, a different team  from the exuberant side of last year's Final. Benfica had most of the  attack, in particular the impressive Brazilian Valdo whose running with  the ball and skilful passing and turning kept Costacurta and Ancelotti  on their back feet. Milan, however, were still dangerous. In the 39th  minute, Gullit found Tassotti and the full-back's cross was met by Van  Basten, whose shot was well saved by keeper Silvino.  Four  minutes into the second half. Van Basten passed to Gullit with only the  keeper to beat but Gullit's snatched shot was stopped by Silvino. It  was then Benfica's turn to go close, when a 25-yard shot from Valdo beat  keeper Giovann Galli but went just wide of the post. In the 62nd  minute, Costacurta picked up a ball from Filippo Galli and fed Van  Basten. whose pass through the Benfica defence was met b> Rijkaard  who smashed the ball into the net wide of the keeper. 1 -0 to Milan.  Benfica brought on forward Vata Garci. to replace midfielder Vitor  Paneira, but the Portuguese side had left it too late. Gullit could have  added another in the 78th minute but elected to hit a good chance well  over the bar and, although Jose Carlos nearly caught out keeper Galli  with ten minutes to go, Milan held on till the final whistle. The skill  of Van Basten, the midfield power of Frank Rijkaar and the tireless  defence of Costacurta, Baresi and Maldini had ensured that Milan's name  was on the trophy for the second year in succession. Unlucky Benfica,  who had provided strong and determined competition to the Italians, had  now suffered their fifth defeat in seven European Cup Finals.
 Caps
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