Santiago Bernabeu,
Madrid
L'ancienne Coupe d'Europe des clubs champions, devenue Ligue des champions, s'étant transformée en une compétition hybride mêlant le système Championnat à la formule à élimination directe de la Coupe, ne poursuit que le seul objectif d'être réservée à la crème des plus grands clubs continentaux. S'il présente beaucoup d'avantages, l'élitisme procure le désagrément d'avoir à se « débarrasser » de toutes ces « petites » équipes couronnées par le titre dans un tas de « petits » pays du football, moins riches, moins prétentieux et par conséquent moins ambitieux. D'où cette compétition à rallonge qui n'en finit pas de commencer et qui ne devient franchement intéressante que lorsqu'elle aborde le système à élimination directe.
C'est-à-dire à partir des quarts de finale. Auparavant, c'est l'ennui d'une longue attente, où les comptes d'apothicaires et quelques règlements de comptes ne parviennent pas à placer la compétition sur sa rampe de lancement. De tour de qualification en tour de qualification, on fait en sorte de couper le plus de têtes possible afin de sacraliser les trente-deux élus, que Ton répartit ensuite dans huit groupes de quatre pour une première phase de compétition d'où l'on extrait encore les seize meilleurs divisés en quatre poules. Et après ça, on retient les deux premiers de chaque poule pour alimenter les quarts de finale. Pour nos deux représentants rescapés, la deuxième phase de la Ligue des champions va tourner au cauchemar. Et l'on va se rendre compte alors que les plus grosses cylindrées de notre Championnat n'ont pas véritablement les moyens de rivaliser avec ce qui se fait de mieux à l'heure actuelle en Europe. Quatorze équipes triées sur le volet, parmi lesquelles le FC Valence, la Lazio de Rome, Feyenoord de Rotterdam, la Fiorentina, Chelsea et Manchester United. Excusez du peu! Et là il faudra que les nôtres se sortent les tripes pour ne pas sombrer dans le ridicule. La pilule est très dure à avaler pour les Girondins, qui parviennent à faire illusion peut-être mais qui ne réussissent pas à faire preuve du réalisme indispensable à ce niveau de compétition.
Corrigés par Valence (3-0 et 4-1), battus par deux fois par MU (2-0 et 2-1), ils n'arrivent à sortir la tête de l'eau que face à la Fiorentina qu'ils ne parviennent pas à battre pour autant (0-0 à Lescure et 3-3 à Florence). Deux petits points en six rencontres, c'est vraiment maigrichon pour continuer à rêver... Pour rOM, c'est peut-être pire... Et la maigre victoire obtenue au Vélodrome contre Chelsea (1-0, but de Robert Pires) ne peut pas faire oublier combien les Marseillais ont souffert précédemment face à la Lazio (2-0) ou à Rotterdam (3-0). La suite sera encore plus tragique avec une nouvelle défaite à Londres (0-1 face à Chelsea), suivie d'une sévère correction à Rome (1-5 face à la Lazio), que le résultat nul (0-0) enregistré à Marseille contre Feyenoord n'arrive même pas à en atténuer les effets douloureux. Bref, c'est la bérézina pour les deux clubs français qui terminent tous les deux bons derniers de leur groupe. Comme le fait remarquer amèrement Elie Baup : « Ils n'auront pas fait le poids ! »
C'est-à-dire à partir des quarts de finale. Auparavant, c'est l'ennui d'une longue attente, où les comptes d'apothicaires et quelques règlements de comptes ne parviennent pas à placer la compétition sur sa rampe de lancement. De tour de qualification en tour de qualification, on fait en sorte de couper le plus de têtes possible afin de sacraliser les trente-deux élus, que Ton répartit ensuite dans huit groupes de quatre pour une première phase de compétition d'où l'on extrait encore les seize meilleurs divisés en quatre poules. Et après ça, on retient les deux premiers de chaque poule pour alimenter les quarts de finale. Pour nos deux représentants rescapés, la deuxième phase de la Ligue des champions va tourner au cauchemar. Et l'on va se rendre compte alors que les plus grosses cylindrées de notre Championnat n'ont pas véritablement les moyens de rivaliser avec ce qui se fait de mieux à l'heure actuelle en Europe. Quatorze équipes triées sur le volet, parmi lesquelles le FC Valence, la Lazio de Rome, Feyenoord de Rotterdam, la Fiorentina, Chelsea et Manchester United. Excusez du peu! Et là il faudra que les nôtres se sortent les tripes pour ne pas sombrer dans le ridicule. La pilule est très dure à avaler pour les Girondins, qui parviennent à faire illusion peut-être mais qui ne réussissent pas à faire preuve du réalisme indispensable à ce niveau de compétition.
Corrigés par Valence (3-0 et 4-1), battus par deux fois par MU (2-0 et 2-1), ils n'arrivent à sortir la tête de l'eau que face à la Fiorentina qu'ils ne parviennent pas à battre pour autant (0-0 à Lescure et 3-3 à Florence). Deux petits points en six rencontres, c'est vraiment maigrichon pour continuer à rêver... Pour rOM, c'est peut-être pire... Et la maigre victoire obtenue au Vélodrome contre Chelsea (1-0, but de Robert Pires) ne peut pas faire oublier combien les Marseillais ont souffert précédemment face à la Lazio (2-0) ou à Rotterdam (3-0). La suite sera encore plus tragique avec une nouvelle défaite à Londres (0-1 face à Chelsea), suivie d'une sévère correction à Rome (1-5 face à la Lazio), que le résultat nul (0-0) enregistré à Marseille contre Feyenoord n'arrive même pas à en atténuer les effets douloureux. Bref, c'est la bérézina pour les deux clubs français qui terminent tous les deux bons derniers de leur groupe. Comme le fait remarquer amèrement Elie Baup : « Ils n'auront pas fait le poids ! »
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