Prenez  garde à la peinture ! Les Verts en Bleus passent les Rouges. Le Bleu  des Bleus : un Jaune égaré parmi les Verts. Feu vert pour les Bleus : si  Michel Hidalgo se prend un jour pour Picasso, il le devra aux titres  colorés qui ont suivi la victoire très nette de son équipe de France  (4-1) aux dépens du Bayern de Munich. Réjouissons-nous d'abord d'un  résultat sans bavure qui inaugure la saison internationale. 
 La  France a triomphé dans son match annuel joué au profit de l'Union  nationale des footballeurs professionnels, sa saison fut bonne. Cette  année, il s'agira non seulement de faire bonne figure et de glaner  quelques succès probants (contre la Suède, la Tchécoslovaquie, la  Hollande et l'U.R.S.S.), mais encore de préparer l'avenir. De ce point  de vue, la victoire acquise contre le Bayern aura apporté à Michel  Hidalgo quelques satisfactions : « Ce genre de match entre une équipe de  club et une équipe nationale, fatalement moins soudée, est toujours  difficile. La preuve en est que dans le premier quart d'heure les  Allemands nous ont dominés et auraient très bien pu marquer. » Un Bayern  virevoltant, un Breitner omniprésent, un Oblak clairvoyant, un  Rummenigge danger constant ont en effet privé du ballon des Tricolores  paralysés et statiques. Battiston sauva deux fois son camp, prit le  meilleur sur Rummenigge, sans jamais commettre de faute. Ni oublier de  contre-attaquer. Du super Battiston : « II sait remarquablement suivre  toutes les actions », disait encore de lui l'entraîneur des Tricolores  qui n'avait peut-être pas remarqué que l'arrière messin fut aussi le  premier à sonner le réveil des offensives françaises. 
 Et  comme derrière lui Dropsy sut se montrer intraitable, la domination  munichoise ne se concrétisa pas au tableau d'affichage. Au contraire, ce  furent les partenaires de Michel Platini, capitaine d'un soir en  l'absence de Trésor, qui accumulèrent les buts : Larios, après, un  une-deux avec Bathenay, Lopez d'une splendide lucarne sur passe de  Rocheteau, Zimako dès son entrée sur le terrain et Platini, l'inévitable  Platini, sur coup franc. Pour son premier capitanat tricolore, Platini  exultait. Une victoire, un but splendide, quelques actions tranchantes  comme celles qui amenèrent les buts de Lopez et de Zimako. Pourtant,  Michel pose un cas de conscience : comment critiquer le meilleur joueur  de l'hexagone sans passer pour un pédant? En revoyant le match à la  télévision, on a pu comptabiliser ses passes longues qui tiennent sans  doute du génie dans leur soudaineté mais qui pèchent par leur  imprécision ou la difficulté à les réceptionner. Sur seize passes  comptabilisées, trois seulement sont arrivées à bon port. Deux auraient  pu faire un but. « Tout le monde a critiqué mes passes longues,  protestait Michel quelques jours après la rencontre, sans voir que j'ai  tenté face aux Allemands du Bayern des choses difficiles que je n'avais  pas essayées depuis deux ans. » Son successeur Philippe Bergeroo se montra également à la hauteur.
Dont  acte. Mais le néo-Stéphanois s'est, semble-t-il, beaucoup replié depuis  son arrivée dans l'équipe de Robert Herbin. Sa force de pénétration  reste intacte, sa précision dans le jeu court et son rôle déterminant  dans la circulation du ballon Continuent de faire les délices de tous  les observateurs. Mais les attaquants tricolores ont semblé parfois bien  isolés. « L'important, c'est qu'il y ait une ossature de club », a  enfin déclaré Michel Platini. Avec quatre buts peints en vert, avec un  Rocheteau donnant autant le tournis qu'en 1976 à Glasgow, avec un public  scandant « les Verts, les Verts » à l'approche du coup de sifflet  final, on ne pouvait se méprendre : le cœur de l'équipe de France est  stéphanois. Le tout est de savoir si Michel Hidalgo maintiendra sa  griffe. Quant à Eric Pécout, malheureux tout au long de la partie, il  refusa l'explication simpliste du Nantais égaré parmi les Stéphanois.
 «  J'ai raté le coche, voilà tout, reconnaissait sans lamentation  l'avant-cen-tre nantais. J'ai d'ailleurs plus été retenu d'après ma  bonne fin de saison dernière que d'après ma forme actuelle. J'ai manqué  tout ce que j'ai voulu. Il y a des jours comme ça. Je ne sais pas à quoi  ça tient. Je peux seulement déplorer que j'avais là une occasion à  saisir et qu'elle m'a échappé. »d'avoir maintenu sa confiance à Pécout  pendant la seconde mi-temps : bien des entraîneurs auraient procédé à un  remplacement pour cause d'inefficacité et de maladresse. Reste ce but  de la dernière minute, ce relâchement ultime auquel il faudra remédier  et qui fut la deuxième ombre au tableau. Un score largement acquis et un  match plus qu'amical (le Bayern se présentait sans Maier, ni  Schwarzenbeck, ni Klaus, ni Hors-mann et fut handicapé par les sorties  de Breitner et Oblak) font comprendre, sans l'excuser, cette erreur de  dernière minute.Mais le retour de Bathenay, l'explosion de Larios,  l'autorité de Dropsy et Specht, la confiance de Zimako avaient fourni,  entre autres, bien des motifs valables de satisfaction pour ne pas se  gâcher le plaisir par des fautes somme toute vénielles. Il faut  maintenant confirmer cet excellent résultat par de plus probantes  victoires. Pour que cesse enfin la légende d'une équipe de France  championne du monde des matches amicaux.
«  J'ai raté le coche, voilà tout, reconnaissait sans lamentation  l'avant-cen-tre nantais. J'ai d'ailleurs plus été retenu d'après ma  bonne fin de saison dernière que d'après ma forme actuelle. J'ai manqué  tout ce que j'ai voulu. Il y a des jours comme ça. Je ne sais pas à quoi  ça tient. Je peux seulement déplorer que j'avais là une occasion à  saisir et qu'elle m'a échappé. »d'avoir maintenu sa confiance à Pécout  pendant la seconde mi-temps : bien des entraîneurs auraient procédé à un  remplacement pour cause d'inefficacité et de maladresse. Reste ce but  de la dernière minute, ce relâchement ultime auquel il faudra remédier  et qui fut la deuxième ombre au tableau. Un score largement acquis et un  match plus qu'amical (le Bayern se présentait sans Maier, ni  Schwarzenbeck, ni Klaus, ni Hors-mann et fut handicapé par les sorties  de Breitner et Oblak) font comprendre, sans l'excuser, cette erreur de  dernière minute.Mais le retour de Bathenay, l'explosion de Larios,  l'autorité de Dropsy et Specht, la confiance de Zimako avaient fourni,  entre autres, bien des motifs valables de satisfaction pour ne pas se  gâcher le plaisir par des fautes somme toute vénielles. Il faut  maintenant confirmer cet excellent résultat par de plus probantes  victoires. Pour que cesse enfin la légende d'une équipe de France  championne du monde des matches amicaux.
 «  J'ai raté le coche, voilà tout, reconnaissait sans lamentation  l'avant-cen-tre nantais. J'ai d'ailleurs plus été retenu d'après ma  bonne fin de saison dernière que d'après ma forme actuelle. J'ai manqué  tout ce que j'ai voulu. Il y a des jours comme ça. Je ne sais pas à quoi  ça tient. Je peux seulement déplorer que j'avais là une occasion à  saisir et qu'elle m'a échappé. »d'avoir maintenu sa confiance à Pécout  pendant la seconde mi-temps : bien des entraîneurs auraient procédé à un  remplacement pour cause d'inefficacité et de maladresse. Reste ce but  de la dernière minute, ce relâchement ultime auquel il faudra remédier  et qui fut la deuxième ombre au tableau. Un score largement acquis et un  match plus qu'amical (le Bayern se présentait sans Maier, ni  Schwarzenbeck, ni Klaus, ni Hors-mann et fut handicapé par les sorties  de Breitner et Oblak) font comprendre, sans l'excuser, cette erreur de  dernière minute.Mais le retour de Bathenay, l'explosion de Larios,  l'autorité de Dropsy et Specht, la confiance de Zimako avaient fourni,  entre autres, bien des motifs valables de satisfaction pour ne pas se  gâcher le plaisir par des fautes somme toute vénielles. Il faut  maintenant confirmer cet excellent résultat par de plus probantes  victoires. Pour que cesse enfin la légende d'une équipe de France  championne du monde des matches amicaux.
«  J'ai raté le coche, voilà tout, reconnaissait sans lamentation  l'avant-cen-tre nantais. J'ai d'ailleurs plus été retenu d'après ma  bonne fin de saison dernière que d'après ma forme actuelle. J'ai manqué  tout ce que j'ai voulu. Il y a des jours comme ça. Je ne sais pas à quoi  ça tient. Je peux seulement déplorer que j'avais là une occasion à  saisir et qu'elle m'a échappé. »d'avoir maintenu sa confiance à Pécout  pendant la seconde mi-temps : bien des entraîneurs auraient procédé à un  remplacement pour cause d'inefficacité et de maladresse. Reste ce but  de la dernière minute, ce relâchement ultime auquel il faudra remédier  et qui fut la deuxième ombre au tableau. Un score largement acquis et un  match plus qu'amical (le Bayern se présentait sans Maier, ni  Schwarzenbeck, ni Klaus, ni Hors-mann et fut handicapé par les sorties  de Breitner et Oblak) font comprendre, sans l'excuser, cette erreur de  dernière minute.Mais le retour de Bathenay, l'explosion de Larios,  l'autorité de Dropsy et Specht, la confiance de Zimako avaient fourni,  entre autres, bien des motifs valables de satisfaction pour ne pas se  gâcher le plaisir par des fautes somme toute vénielles. Il faut  maintenant confirmer cet excellent résultat par de plus probantes  victoires. Pour que cesse enfin la légende d'une équipe de France  championne du monde des matches amicaux.France : Dropsy - Battiston, Specht, Lopez, Bossis - Larios, Platini, Bathenay - Rocheteau, Pécout, Six. 
Bayern de Munich : Junghans - Weiner, Niedermayer, Augenthaler, Gruber - Breitner, Dremmler, Durnberger, Oblak - Dieter Honess, Rummenigge.
Buts : Larios (25e), Lopez (43e), Zimako (67e) et Platini (77e) pour l'équipe de France. Janzon (90e) pour le Bayern. Remplacements : Bathenay par Moizan et Six par Zimako (63e) pour la France. Breitner pour Reisin-er (55e), Oblak par Janzon (60e) et Gruber par Steinbrclhes (72e) pour le Bayern de Munich.
Bayern de Munich : Junghans - Weiner, Niedermayer, Augenthaler, Gruber - Breitner, Dremmler, Durnberger, Oblak - Dieter Honess, Rummenigge.
Buts : Larios (25e), Lopez (43e), Zimako (67e) et Platini (77e) pour l'équipe de France. Janzon (90e) pour le Bayern. Remplacements : Bathenay par Moizan et Six par Zimako (63e) pour la France. Breitner pour Reisin-er (55e), Oblak par Janzon (60e) et Gruber par Steinbrclhes (72e) pour le Bayern de Munich.

Codec Divx, Avi
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Merci à Pierre pour enregistrement VHS












 
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