Minggu, 27 Mei 2012

Friendly 1977: Atlético France


Date: 3 de julho de 1977. 
City: Belo Horizonte, MG. 
Stadium: Mineirão. 
Attendance: 22.564 pagantes. 
Referee: Airton Vieira de Morais, RJ. 

ATLÉTICO: Ortiz; Alves, Modesto, Márcio e Hilton Brunis; Danival (João Alfredo), Heleno e Ângelo; Marinho (Luis Carlos), Reinaldo e Marcinho -- Tec: Barbatana. 

FRANÇA: Baratelli; Battiston, Tresor, Tusseau (Michel Platini) e Bossis (Shannoun); Michel, Janvion e Lacombe; Bathenay, Baroncheli  e Amisse (Six) -- Tec: Michel Hidalgo.


Comments: french

FC Nantes 2011 2012 Tous les buts

Ligue 2, Coupe de la Ligue (jusqu'en 16me de finale), Coupe de France (jusqu'au 8me tour)
Du 22 Juillet 2011 au 18 Mai 2012



avi
Stadium sound


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Caps



Juaninho

Sabtu, 26 Mei 2012

UEFA Champions League 2011 2012 Goals

From round of 16 to final
From 27 March to 19 May 2012


Bah ouais. Certains diront que Chelsea, c’est l’anti-football. C’est le football défensif, c’est mettre un bus devant le but. D’accord. Mais allez donc demander à Naples, Benfica, au Barça et au Bayern... Des équipes qui ont comme point commun d’être des formations joueuses, qui vont parfois vite, qui tiennent le ballon. Pourtant, le même constat pour tous. Hormis Naples, qui a mis un bouillon aux Blues au match aller (Coïncidence ? C’était encore Villas-Boas sur le banc...), les autres équipes n’ont jamais pu développer leur jeu habituel. Le Barça a fait du 72% de possession de balle lors de la demi-finale retour au Camp Nou. Les Catalans ont touché les montants, raté un péno. Et le Bayern ? 58% de possession sur cette finale, 43 tentatives de tirs… Pour rien. Pour finalement voir un rêve s’écraser sur le montant de Petr Čech. Alors voilà, Chelsea n’a peut-être pas développé le plus beau football de l’Histoire, mais il a marqué 3 buts en 3 occasions contre le Barça, et a scoré sur sa seule vraie occasion en finale. Sa force ? Le mental, la confiance. Un mental pour revenir de nulle part à chaque fois, la confiance pour aller au bout de tous ses efforts, même après prolongation, même quand la situation semblait désespérée. Et puis, quand vous avez un Drogba en relation directe avec Dieu et un entraîneur avec une tête de Chinois, vous ne pouvez que gagner. 

On nous a bassinés. On vous a bassinés. Tout le monde a été bassiné. La finale, c’était écrit, cela devait être Barcelone-Real Madrid. Le 7e de la saison après les deux matches de Supercoupe, les deux de Copa del Rey et les deux de championnat. Après avoir éliminé le Milan AC, le Barça pensait avoir la voie royale jusqu’à la finale de Munich. A vrai dire, le Real aussi. En même temps, c’est normal. Les deux équipes sont actuellement les deux meilleures équipes du monde. Les seules capables de dépasser la barre des 100 buts en championnat. Les seules qui comptent dans leur effectif un joueur en mesure de marquer à lui seul plus de buts que la plupart des équipes de Ligue 1. Cela devait donc être l’apogée de cette saison. Une finale entre Pep et José. D’ailleurs, si finale il y avait eu, peut-être bien que Guardiola n’aurait pas annoncé son départ avec tant d’avance. Il aurait certainement attendu l’issue du match de Munich, pour partir en héros. Ou pas. Mais finalement, non. Pas de Clásico en finale de Ligue des Champions. Les Allemands et les Anglais, pas forcément plus brillants, ont su être plus costauds et plus forts mentalement. Cependant, que personne ne s’inquiète : le prochain Clásico devrait avoir lieu dès le mois d’août, en Supercoupe d’Espagne. Éternelle ritournelle.  

Il fut un temps où les arrière-gardes italiennes étaient craintes dans toute l’Europe. Un instant, cette saison, on a bien cru que ça y était, que c’était le retour de la défense made in Italy. Déjà, le Calcio a été le seul des championnats majeurs à qualifier tous ses représentants pour les huitièmes de finale. Lors des matches aller, tout va bien, ou presque. Naples met une fessée à Chelsea, Milan écrase Arsenal et l’Inter s’incline à la dernière minute contre l’OM. Lors des matches retour, il faut donc assurer. Défendre pour le Napoli ? Une hérésie. Les Napolitains attaquent pendant presque toute la rencontre, et voient leur avantage diminuer au fil des minutes et des pions adverses. Le coup de poignard intervient en pleine prolongation, avec le but d’Ivanovic qui élimine les joueurs de Mazzarri. Et Milan ? Avec ses quatre buts d’avance, les Milanais ont offert une prestation pitoyable, s’inclinant 3-0 et remerciant leur gardien Abbiati d’avoir empêché l'humiliation suprême. Un Milan qui cèdera finalement au Camp Nou, sous les coups de Messi et Iniesta (et de l’arbitre). Et l’Inter ? Certainement les pires. Après avoir laborieusement ouvert le score à San Siro contre Marseille, les Nerazzurri doivent juste résister à la furie marseillaise (LOL) et inscrire un deuxième but. Résultat : ce deuxième but a bien été inscrit. Mais après avoir encaissé un but de Brandao. Giacinto Facchetti peut s’en retourner dans sa tombe. 

Monaco qui atteint la finale de la Ligue des Champions : c’était il y a huit ans. Une éternité. Depuis, hormis la demi-finale de Lyon, pas d'incroyable épopée à se mettre sous la dent. Pourtant, cette année, les clubs français ont fait quelque chose de grand lors des phases de poules. Si le champion lillois a été sorti dès le premier tour par clair manque de réalisme et d’expérience, Marseille s’est offert une invraisemblable qualification à Dortmund, avec ce but de Valbuena dans les arrêts de jeu. Lyon a fait encore plus fort, en allant gagner 7-1 sur la pelouse du Dinamo Zagreb. Tiens, ça tombe bien, c’est justement le nombre de buts qu’il leur fallait pour se qualifier. Après cela, les Lyonnais n’ont rien pu faire contre le terrifiant APOEL Nicosie, confirmant que le temps où les joueurs de JMA éliminaient le Real Madrid est bien révolu. Quant à l’équipe de Didier Deschamps, après avoir éliminé l’Inter sans avoir vraiment compris comment (le dos de la Brandade, quoi), elle s’est tranquillement fait sortir par le Bayern (0-2, 2-0). Histoire de bien signifier que ces clubs ne font plus peur aux puissantes écuries européennes. Vivement le PSG "bling bling" en Ligue des Champions. Et vivement Loulou Nicollin au Camp Nou.  

À croire que le Bayern Munich ne voulait pas la gagner, cette finale. Un pénalty raté durant la prolongation, deux tirs au but loupés alors que Chelsea avait débuté la série par un échec… Non. Ils ne devaient pas gagner. Pourtant, celui qui a le plus les boules de la soirée, c’est certainement Tottenham. En effet, les Spurs, arrivés quatrièmes de Premier League, vont devoir gentiment rendre leur billet pour la Ligue des Champions 2012-13 à Chelsea, puisque le règlement n’autorise que quatre équipes anglaises à participer à la C1, et se contenter de l’Europa League. C’est tout de même con, surtout lorsque l’on sait que l’équipe de Harry Redknapp n’est arrivée qu’à une toute petite longueur d’Arsenal. C’est là que les fans des Spurs repensent aux défaites subies à domicile contre Norwich ou sur les pelouses d’Everton, Stoke et QPR… Déjà que l’amour entre Tottenham et Chelsea, deux clubs de Londres, n’était pas vraiment au beau fixe, ce joli vol de place en Ligue des Champions bien en règle ne risque pas d’arranger les choses. Mais que les fans de Tottenham voient le bon côté des choses : au moins, la victoire de Chelsea les qualifie directement pour les phases de poules de la C3. Même pas besoin de se farcir un tour préliminaire. Alors, heureux ? 




http://www.sofoot.com/ce-qu-il-faut-retenir-de-la-ligue-des-champions-2011-2012-157051.html


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French comments (Canal+)
All goals + penalties


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Caps


Thanks to TWB for APOEL-Lyon penalties.
Juaninho

Minggu, 20 Mei 2012

Euro Cup 1988 Group B England USSR


June 18, 1988
Waldstadion
Frankfurt am Main
West Germany
53.000 spectators
Referee: Jose Rosa Dos Santos (Portugal)

England: Chris Woods, Gary Stevens, Kenny Sansom, Tony Adams, Dave Watson, Trevor Steven, John Barnes, Steve McMahon (53`Neil Webb), Glenn Hoddle, Gary Lineker (64`Mark Hateley), Bryan Robson. Coach: Bryan Robson.

USSR: Rinat Dasaev, Vladimir Bessonov, Vagiz Khidiyatullin, Oleg Kuznetsov, Vasiliy Rats, Sergei Aleinikov, Gennadiy Litovchenko, Alexander Zavarov (86`Sergei Gotsmanov), Alexei Mikhailichenko, Oleg Protasov, Igor Belanov (45`Victor Pasulko). Coach: Valery Lobanovsky.

The Soviet Union beat England 3-1 to progress to the semi-finals and leave Bobby Robson's team without a point to their name.
Any chance England – already eliminated – had of heading home with at least some degree of consolation was ended in only the third minute, when Sergei Aleinikov put the USSR in front. Though Tony Adams drew England level, a goal in either half from Alexei Mykhailichenko and Victor Pasulko was enough for Valery Lobanovsky's team to reach the last four once again.
Their cause was helped no end when Glenn Hoddle was easily dispossessed early on, Aleinikov surging through the middle and turning sharply before finishing past Chris Woods. Hoddle helped to make amends on 16 minutes, whipping in a free-kick which Tony Adams met with a bullet header.
Each team was subsequently denied by the woodwork, Trevor Steven for England and Oleg Protasov for the USSR, before Mykhailichenko made a perfectly timed run into the penalty area and headed in Ihor Belanov's cross. Pasulko finished from close range to make it three, completing a miserable tournament for England while leaving the USSR in buoyant mood ahead of the semi-finals.


First half:
https://rapidshare.com/files/296238182/Euro1988.England-USSR.Rush®1stHalf.mkv
Second half:
https://rapidshare.com/files/2716314382/Euro1988.England-USSR.Rush®2ndHalf.mkv

Video Codec H264/AVC, MKV  
720 х 576, Bitrate 2500 kbps, 
25.00 fps Sound Codec mp3, 128 kbps, 44100 Hz, 16 bit, 2 channels 
French Comments 

 
http://football.ua/retro/news/107561.html
http://www.oldschoolpanini.com/2011/01/lurss-1986-88-uvre-de-larchitecte.html